24 novembre 2011
Nouvelle année
Quand nos paupières se ferment, notre regard se tourne vers notre esprit.
Sur l'écran noir de nos yeux, alors, s'animent en montages anarchiques des songes que nous ne maitrisons pas.
Angoisses ou fantasmes qu'importe, j'ai mon « attrapeur de rêves » amérindien.
Aussi, je n'ai gardé souvenir que de masques flottants sur une lagune, d'une cathédrale de bois perdue sur une ile au nord, d'une « Belle Ferronnière » illuminant les brumes de la blanche Albion.
Cette année fut un rêve éveillé...
Allons ! vite, j'ai hâte de tomber dans les bras de Morphée pour commencer cette nouvelle année...
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